lundi 30 avril 2018

Mes tatouages.

Commençons ce renouveau de mon blog en parlant de mes tatouages -eh bah bravo. Vous m'avez demandé de commencer par ça, je vous écoute donc ! Je vous propose de me présenter grâce à mes jolies oeuvres sur mon corps, ce qui donnera le ton, vous verrez donc un peu le style que j'aime bien et ma conception du tatouage.




Je vais commencer par vous parler de mon organisation des tatouages sur mon corps. Il faut tout d'abord savoir que mes tatouages sont dits thérapeutiques : en gros, l'encre dans ma peau m'aide à accepter ma vie et à me réapproprier mon corps que je n'accepte que moyennement. Depuis que je suis tatouée, je me met beaucoup plus en jupe, en short, en t-shirt, alors que j'étais très souvent en gros pull hiver comme été.

Mon corps est organisé en deux parties. Le côté gauche de mon corps représente ce qui est douloureux ou a été douloureux. Un passé ou un présent que je veux accepter et qui me construit, qui fait parti de moi. Le tatouage rend ceci plus joli, parce qu'un dessin représente tout et me fait passer à autre chose. Le graver dans mon corps me fait tourner la page, en gros. Mon côté droit représente les choses plus joyeuses, les amis, la famille, les soirées, le renouveau de ma vie, la musique. Ce qui fait que ma vie est belle malgré tout.

Mes tatouages "importants" pour moi sont tous reliés par soit : des yeux ou ce qui représente le ciel (des volatiles, des planètes, des étoiles, des nuages, etc.) C'est un peu un hasard que tout soit relié comme ça, mais en fait c'est comme une évidence, un enchainement logique.

On va passer aux tatouages désormais ! J'en ai pour l'instant seulement 6, mais je vous ferais des mises à jour petit à petit.




Mon premier tatouage c'est Saturne. Il a été fait par Jambon Rouge du salon Tear Drop Tattoo -vous n'avez qu'à cliquer sur les noms en bleus pour tomber sur l'instagram des concernés. Je l'ai fait à mes 19 ans, et c'était logique pour moi de commencer par ce dessin là. J'avais toujours dit que mon premier tatouage serait Saturne, et c'est donc le cas. Aucune représentation, juste de l'esthétisme, il est au milieu de mon dos pour la symétrie, il est pour moi le commencement de ma passion depuis que je suis en quatrième où je me rêvais tatouée de la tête au pied. Jambon est ma tatoueuse chouchoute, elle a tout de suite compris ce que je voulais. Elle était encore apprentie à cette période là, c'était un bonheur d'être son cobaye.

Pour un premier tatouage, l'emplacement était très bien choisi car la douleur est vraiment légère. C'est désagréable mais je n'ai pas eu mal. De plus, j'avais vraiment envie de ne pas voir tous les jours mon premier tatouage -je vous expliquerais cela dans un prochain article où je parlerais de comment faire pour sauter le pas pour un premier tattoo.




Mon deuxième tatouage a été fait aussi par Jambon Rouge dans le même salon. J'ai passé 3h à me faire tatouer ce chef-d'oeuvre qui représente toute mon adolescence. Le dessin est d'Archibald, qui était en stage au salon de Jambon. L'oeil au dessus représente le soleil qui juge et qui regarde sans rien faire. C'est l'un des tatouages qui m'a fait le plus de bien, tant esthétiquement sur ma peau que du baume au coeur.

La douleur pour se tatouage se fit sentir sur la longueur en fait. Sur le mollet, ce n'était pas plus douloureux que ça, mais dès qu'on s'approchait des articulations (genou et cheville) ça commençait à faire vraiment mal. Puis au bout de2h/2h30 de tatouage, tout me faisait mal, à cause de la fatigue etc.




Mon troisième tattoo est fait en hand poke par Kuku, à Paris. Je voulais voir la douleur du tatouage en hand poke, et je voulais surtout absolument me faire tatouer par Kuku. Je lui ai dit que je voulais un verre de vin qui renverse des étoiles. Pas besoin de plus de discussions, elle m'a montré ce dessin et j'ai dit oui. Il est la représentation de ma bande de potes. Les soirées, les amis, la fac, et le fait de grandir.

La douleur : très mal. Ce tatouage n'a duré que 40 minutes, mais on sent bien l'aiguille qui transperce la peau, c'est pas le plus agréable. Avec une machine, c'est désagréable mais ça passe. Avec juste l'aiguille, c'est comme si on te faisait pleins de piqures. Mais c'était une technique de tatouage que je voulais tester, et c'était très cool, avec une jolie pièce à la fin.




Mon quatrième tatouage est une pièce par l'extrêmement talentueuse Béatrice Myself. Cette tatoueuse dont je suis fan depuis 5 ans a proposé ce flash en 2016. J'en suis tombée tout de suite amoureuse. Je vous expliquerais le système du flash tattoo dans un prochain article, mais en gros, c'est des dessins que les tatoueurs proposent et si tu aimes tu te le fais tatouer, c'est pas une commande quoi. J'ai flashé -lol- dessus tout de suite et me le suis fait tatouer en décembre 2016. La phrase "tears don't fall in space" était une phrase qui m'inspirait dans une période un peu difficile de ma vie, et qui me rappelait en plus de cela Bowie, mort en janvier de la même année. La tristesse de sa mort, avec mon humeur du moment fut comme une évidence pour me le faire tatouer.

La douleur : 8/10 à cause de tout le remplissage -et encore, comparé à d'autres tattoos, là c'est mignon. Pareil que les autres tatouages, quand on s'approche des articulations, ici le genou, ça fait vraiment mal. Mais je suis très fière d'être tatouée par une de mes tatoueuses préférées.



En parlant de tatoueuse dont je suis fan, je vous présente mon papillon fait par Eugénie Kasher, qui était en guest au Phylactère -comme vous pouvez le voir sur la photo-, un salon de tatouage à Paris rempli de tatoueurs incroyables, qui ferme très bientôt -ils font une journée de fermeture le le 26 mai, si ça vous intéresse je vous met le lien en cliquant sur la date. J'avais besoin de marquer sur moi une promesse que je me suis fait il y a 2 ans, et je voulais représenter cela avec un papillon. Un jour, Eugénie que j'admire énormément pour son travail, publie trois flashs de papillons. Je suis tombée amoureuse et je l'ai contacté tout de suite.

Je n'ai pas eu trop mal, Eugénie était très douce et avec beaucoup de discussions, je pensais pas tellement à la douleur, à part lorsqu'on s'approchait de l'intérieur du coude.




Enfin, mon petit dernier en date, Lisztomania. Je vais vous raconter pourquoi je me suis tatouée cela, parce que c'est un peu une petite blague ce tattoo. Le groupe Phoenix a écrit une musique s'appelant Lisztomania. Depuis cette chanson, tout le monde pense qu'être lisztomaniac c'est être un grand fan de musique.. Mais en fait la lisztomania c'est un phénomène du XIXe siècle envers le compositeur Liszt -qui est mon compositeur préféré-, c'est un peu comme la beatlesmania, des groupies et des fans fous. Cette confusion me faisait rire, j'ai donc décidé de me le faire tatouer..

C'est mon troisième tatouage de chez Jambon Rouge, l'écriture est cette fois ci celle de ma soeur, qui s'amuse à faire des typos, et je lui ai piqué celle la.

Douleur : maximale. Il a duré 10 minutes, mais c'est la douleur la plus intense que j'ai vécu dans le tatouage. Les côtes : ça fait mal.


J'ai désormais fait le tour de mes tatouages actuels. Bien sur, je suis loin de m'arrêter là. Je suis fan de nombreux styles de tatouages et tatoueurs, et je laisse une place pour chacun de mes projets.

Et vous ? Êtes-vous tatoués ? Vous aimez quoi comme style de tatouage ? Vous avez eu mal ? Qui est votre tatoueur préféré ?

Racontez moi tout ! Et n'hésitez pas à me proposer des idées d'articles qui vous plairez.

lucie


P.S : je suis en train de créer un twitter exprès pour le blog, dès que j'arrive à le faire je vous le partage, je pense faire des sondages de mes idées d'articles là-dessus, ou sur mon Instagram. Qu'est-ce que vous préférez comme plateforme ? Dites-moi tout mes petits.

lundi 16 avril 2018

Et si on reprenait du poil de la bête ?

La team Lucie est de retour pour vous jouer de jolis tours.

J'ai trois passions dans la vie : la musique -mais ça je vais en faire ma vie, raconter ma vie -mais ça je le fais toute la journée, et le tatouage. Et c'est pour cela que je reviens sur la blogosphère : je vous propose d'accès ce site sur le monde du tatouage.

On va parler tatoueurs, tatoués, hygiène, styles, façons de faire, et tout ce qui touche de près ou de loin au monde féérique du tatouage.

Mais ne vous inquiétez pas, je ne ferais pas que ça, je vais essayer aussi de varier mes articles et revenir à la fonction première de ce blog : raconter ma vie en essayent de tourner ça en article.

N'hésitez pas à me proposer des idées d'articles, à me dire si ce nouveau concept vous plait et surtout me dire que vous m'aimez.

A très vite.

lucie

samedi 6 février 2016

Rougir : comment accepter le rouge tomate ?

Aujourd'hui, j'ai fais un sondage sur twitter, où plus de la moitié des participants disaient rougir très facilement, un quart rougit un peu, et le dernier quart ne rougit pas. Lorsque j'ai demandé s'il était nécessaire d'avoir un article sur le rougissement, plus de 80% disaient vouloir un article sur comment accepter le fait de rougir. Oui, car cela ne se contrôle pas, il faut juste apprendre à l'accepter.

Si vous faites partis comme moi de ces gens qui rougissent sans arrêt, où parfois même un regard vous fait rougir. Quand quelqu'un vous fait la bise, quand vous dites une blague mais que personne rigole. Si vous rougissez pour tout et pour rien, vous êtes comme moi. Rougir de rougir, aussi.


Oui, rougir n'est pas aussi sexy que dans les dessins ou les films. Tu deviens rouge tomate, d'abord tes joues, et puis si tu as la même chance que moi, ton front devient rouge et ton visage tout entier. Les gens les plus mignons diront que ça fait son charme, le rougissement, et ils ont raison, même si tu penses que c'est ridicule.

Tout d'abord, quand tu rougis, tu as chaud. Si tu veux dérougir plus vite, découvre toi. Tu as ton écharpe autour du coup, enlève la. Pareil pour un pull ou une veste. Par contre en plein été, vous pourrez dire que c'est seulement la chaleur qui vous monte à la tête.

Sinon, une de mes techniques favorite, c'est de mettre mes mains sur mes joues et attendre que ça passe. Quand tu es en cours ça fait comme si tu t'ennuyais, et sinon, fait une tête étonnée et ça fera comme l'emoji choqué.


Ces "techniques" ne servent pas à grand chose. Elles permettront de calmer ton rougissement ou de l'arrêter plus vite, mais ce sera seulement dans ta tête. Tu rougiras aussi longtemps que si tu ne fais rien, mais, je le comprend très bien, ça rassure de se dire "ils n'ont peut être pas vu" ou d'avoir comme excuse "non mais j'ai juste chaud" -ce qui est parfois vrai en plus.

Quand je disais que rougir, ça fait son charme, je le pense vraiment. Les gens qui rougissent, ce sont ceux qui expriment leurs sentiments par leur corps. Certains révèlent des tocs dans certaines situations, tremblent un peu ou se renferment. Nous, nous rougissons. C'est pour cela qu'il faut le dire, quand quelqu'un vous dit "mais c'est vrai, ça se voit parce que tu rougis !" il faut oser dire que le rougissement est une réaction dans les moments qui te gênent, que ça soit vrai ou faux, c'est gênant et le corps le fait ressentir.

La dernière fois, une amie m'a dit quelque chose de très gênant et j'ai rougis. Elle a rigolé en disant à tout le monde "oh elle est toute rouge" et donc tout le monde s'est retourné vers moi. Réaction, je rougis encore plus. Donc devant tous ces regards moqueurs, je leur ai dit que le rougissement n'est pas un révélateur de vérité, c'est juste une réaction du corps devant des situations qui mettent mal à l'aise. Quand on reçoit un compliment, on a un petit sentiment de gêne -parce qu'on a pas l'habitude aha- et alors tes joues rougissent, et ce n'est pas une honte, c'est juste comme ça.

Lorsqu'un prof vous interroge et que vous devenez rouge, si vous entendez quelqu'un faire un commentaire, vous n'avez qu'à dire "oui mais c'est normal, ne vous inquiétez pas" et vous pourrez rougir sans problèmes. Oui, parce que ce n'est pas la première ni la dernière fois que vous rougissez, donc autant dire clairement que c'est naturel. De plus, lorsque vous détournez l'attention de votre rougissement, en faisant comme si de rien n'était, les personnes autour de vous n'y porteront beaucoup moins attention.

Le plus important, c'est de comprendre et faire comprendre ce qu'est le rougissement. J'ai longtemps eu honte de rougir -jusqu'à cette année si vous voulez tout savoir- et je comprend maintenant que c'est une réaction normale qu'il faut accepter et expliquer. La seule chose que je peux vous dire et vous conseiller réellement, c'est de ne pas faire une fixette là dessus. Lorsque vous rougissez, détendez vous, et continuez ce que vous faites. Le rougissement est dû à une petite montée de stress, donc respirez un bon coup, et cela partira vite.

Depuis que j'ai compris tout cela, depuis que je ne me dis plus "putain, pourquoi tu rougis autant ?", je rougis moins. Toujours une vingtaine de fois par jour, je vous rassure, mais vu que la honte qui l'accompagnait était présente, c'était bien pire. Pourtant, je suis toujours confronter au "public" -à la fac quand on passe des oraux, quand je joue devant du monde, quand je passe un entretien ect- mais cela ne m'a jamais entraîner à moins rougir. Il faut juste savoir respirer au bon moment, quand le stress monte peu à peu, respirer fort, vous rougirez mais il y aura aussi une confiance en soit.

J'espère vous avoir aidé, peut être à réfléchir sur ce qu'est ce rougissement, ou à vous sentir moins seul !

lucie



qu'avez-vous pensé de cet article ?

mercredi 27 janvier 2016

Tata Lulu, pourquoi les filles doivent cacher leur corps ?

Aujourd'hui, dans un élan d'amour pour mon corps, j'ai pris des photos en sous vêtements. Je me suis trouvée jolie, limite sexy, et j'en ai gardé que deux, où je me regardais sans honte. Pourtant, sur toutes je me trouvais mignonne, mais le fait que je sois en sous vêtements m'a bloqué. Ensuite, je me suis dit "tiens, les deux que j'ai gardé, je vais les mettre sur twitter, ou instagram" et là, sueur froide : je me suis rappelée que sur les deux réseaux sociaux, il y avait des gens que je connaissais dans la vraie vie qui me suivaient. Mais quel malheur que des gens de mon entourage voient que j'ai des seins ! Ils ne sont surement pas au courant que je suis une femme, alors pour l'instant je suis bloquée et je ne sais pas quoi faire.

Alors après tout ce remue ménage, j'avais envie d'écrire quelque chose sur le fait que les femmes s'empêchent de montrer leur corps.




Le problème, c'est que quand on parle de nudité, tout le monde s'offusque. Une fille qui se prend nue devrait forcément être une pute ? Pourtant, c'est s'accepter. Dans les films, à la téloche ou sur nos panneaux publicitaires, on se fout totalement qu'elle soit dénudée, c'est normal. Alors pourquoi lorsque votre voisine se prend en maillot de bain sur la plage, ou que vous voyez une photo de quelqu'un de votre fac en soutien gorge sur instagram, tout d'un coup, bah faut qu'elle aille se rhabiller, cette traînée !

Il y a d'abord le problème du corps féminin objet. Je m'explique : aujourd'hui, la femme est un produit de publicité. On l'utilise pour porter du parfum, des vêtements, pour présenter les nouveaux médicaments amincissant -où bien sure, la femme qui l'utilise est déjà ultra mince-, la femme blanche/faisant du 36/cheveux longs et soyeux est représenté, et les jeunes -et moins jeunes- filles envie. La femme est un objet publicitaire, et lorsque quelqu'un pose avec son corps dénudés, vu que ce n'est pas pour présenter un objet, c'est vulgaire. Ce qui est bizarre. Un corps nu, c'est la nature. On ne nous a pas créé habillé, ni dans les livres sacrés, ni dans la nature. Nous étions poilus, tout nus, et sans complexes. Mais ce phénomène de complexe s'est développé avec notre société.

En fait, la nudité en photo, c'est comme quelqu'un qui aime pas son nez : quand on prend une photo, on prend un profil spécial, une luminosité, des filtres et puis on la poste. Avec un corps tout entier c'est pareil, on le prend dans toutes ses figures alors qu'on ne l'aime pas, et puis un jour on trouve que sur une photo il est beau, puis sur plusieurs. Puis finalement, peut être qu'on s'accepte.

Il y a aussi quelque chose que je ne comprend pas : un téton féminin est flouté, mais pas un téton masculin. Vous devez vous dire "rho, encore une féministe" mais oui, nous avons le même. C'est un téton. C'est comme ces femmes qui nourrissent leur bébé dans la rue, leur sein à l'air pour que bébé tète, j'ai déjà entendu que c'était dégoutant ! Mais, lorsque nos hommes pleins d'hormones se mettent torses nus, c'est sexy, leurs petits tétons à l'air c'est beau. Eh bien nos tétons féminins sont tout aussi beaux messieurs dames ! -si le sujet des seins vous intéressent, je vous renvoie à cette vidéo youtube : les boobs.

Un corps nu est l'une des plus belle beauté de ce monde, poilu ou pas, maquillé ou pas, avec des rondeurs ou tout mince. Oui, je suis une putain de démago à dire des trucs que tout le monde veut entendre mais ça m'énerve. On m'a toujours dit, que pour accepter son corps il fallait l'assumer, et si l'assumer ce n'était pas le fait d'un jour se dire "oh putain, en fait je suis bonne" mais c'est le montrer pour s'accepter et que les gens le trouvent beau. On m'a souvent dit "pour une fille qui s'aime pas, tu te prends beaucoup en photo" oui, j'aime beaucoup me prendre en photo. Ca me permet d'essayer de voir mes qualités plutôt que mes défauts. Tous les jours, je me répète "t'es pas belle, mais t'as un joli sourire et des cheveux rigolos, ça fait un peu de bonheur aux gens" Et parfois ça marche, parfois ça marche pas, mais tant pis : je fais tout pour m'assumer. Homme ou femme, il est incompréhensible qu'on dise "ah, mais c'est dégueu, c'est juste pour se montrer" alors qu'on c'est un acte pour s'assumer. Oui, je parle aussi des hommes ! Avez vous vu beaucoup d'hommes assumer leur rondeurs ? Vous savez que tous les hommes ne vont pas à la place torse nu car ils ont honte de leur corps ? Oui, car on les pointe du doigt car ils sont "gros". C'est pareil pour les femmes : une femme avec un corps d'athlète fera beaucoup moins objet de censure ou d'harcèlement, parce que "c'est beau une femme nue." Hypocrisie commune : c'est beau quand ça ressemble à celles des magasines.

Cette article est mal écrit car il vient du coeur, et beaucoup de personnes en parle mieux que moi, mais j'avais besoin d'en parler un petit peu. En parlant de gens qui en parlent mieux, voici un petit article qui pourrait vous intéresser : je me mets nue sur le web.

En tout cas, si vous voulez voir mon corps caché par des fleurs, et mis en privé sur instagram, vous pouvez me suivre ici.

C'était juste un article sur quelqu'un qui arrive à se dire qu'elle est belle à travers des photos, alors que dans la rue on lui fait des remarques car elle est dites comme trop maigre, et je sais que je ne suis pas la seule dans ce cas, à être pointé du doigt et de rentrer chez soit le morale dans les chaussettes. Vous pensiez être impuissant, trouvez votre façon de vous aimer : faites du sport, rencontrez la personne qui vous fera vous aimer, dites vous que y a toujours pire. Ou prenez vous en photo.

N'hésitez pas à commenter, à me donner votre avis, et à partager !

lucie

lundi 13 juillet 2015

Savoir bien faire les vide greniers. (dépenser moins et être heureux plus)

Le soleil revient peu à peu, les petites fleurs poussent, et les vide greniers reviennent ! Aujourd'hui je vous propose donc un guide pour les faire bien, étant particulièrement fan de cela -en tant que vendeuse et acheteuse.

Je vais vous donner mon point de vue de collectionneuse de mille et une chose, recherchant toujours le vintage, les statuettes Scooby Doo, les vinyles et les coups de coeur.


En tant qu'acheteur.

Vous allez bientôt pouvoir garder vos billets comme Baddie Winkle car en achetant en vide grenier, vous achetez de l'occasion à des gens qui veulent se débarrasser. Acheter quelque chose à plus de 10 euros dans un vide grenier est impensable -le plus cher que j'ai dépensé était pour une fausse fourrure de marque, qui m'a coûté 7 euros. Quelqu'un qui veut vous vendre un débardeur à 5 euros n'a pas compris le concept d'un vide grenier.

Bref, il y a trois moments pour ne pas être trop dérangé par le monde.

- Le matin dès l'ouverture. C'est à sept heures que les gens s'installent, et donc qu'il y a encore toute leur marchandise. Si vous y allez à cette heure là, c'est souvent que vous êtes un collectionneur, un brocanteur ou quelqu'un qui n'aime pas les gens, mais au moins il n'y a pas de raisons de vous battre avec quelqu'un pour avoir une nouvelle cafetière.

- A l'heure du déjeuner. Entre 12h et 14h, les acheteurs sont souvent soit en train de manger chez eux, soit à la buvette. C'est à cette heure là que les vendeurs voient qu'il leur reste pleins de choses qu'ils ne veulent pas revoir et brassent les prix.
Attention au piège : il y a des vide greniers où la buvette est entre les stands, par exemple quand c'est dans une rue, et donc toute la masse de gens vous bloque la route -vu à Tours.

- Quand les gens remballent tout à la fin de la journée, vers 18h. C'est limite si les gens ne jettent pas ce qu'il leur reste. Ce qui nous va bien ! N'hésitez pas à négocier le prix, les vendeurs ont tendance à accepter très vite pour avoir le moins de choses à ramener chez eux.

Par rapport aux négociations : négocier n'est pas une honte, beaucoup de gens hésitent à demander de baisser le prix. Pourquoi faire les timides ? Les négociations font le charme des vide greniers. Il ne faut pas non plus hésiter à demander à faire un prix de groupe si vous prenez plusieurs choses.

Pour bien faire les vide greniers, il faut se faire un parcours. Un aller et un retour, zigzaguer dans une allée va vous faire perdre le fil et vous allez rater des stands où il y a peut être les dvds collector des totally spies à 2 euros. Le secret c'est de tout voir. De pas rater un stand parce que en plus de passer peut-être à côté de quelque chose, vous passez peut-être à côté d'une personne qui pourrait vous faire rire ou vous raconter une histoire le temps d'un instant pour embellir votre journée ! Ce sujet m'amène à ma seconde partie.

ma maman, moi et notre magnifique stand


En tant que vendeur.

Les vide greniers c'est la meilleure façon de vendre ses bricoles à des gens qui en feront meilleurs usages que toi. On se fait des sous de côté pour les dépenser dans les autres stands du bric à brac. C'est une petite journée ensoleillée dehors à croiser pleins de petites têtes, je trouve que c'est un réel bonheur -sûrement parce que j'adore cette ambiance.

Le secret pour vendre c'est avoir le sourire et parler. Mon père me racontait que pour vendre, lui et un ami inventaient des histoires totalement impossible pour mieux vendre. Par exemple qu'un des bouquins appartenaient à Jacques Chirac ou que les gants étaient ceux dans un tournage d'un certain film. Cela faisait rire et les gens achetaient parce qu'ils attiraient l'oeil. Il ne faut pas vraiment hésiter. J'ai acheté une salopette -dont je suis folle- et pendant que je me décidais à la prendre ou pas, la vendeuse est venue me voir en me disant que si elle ne m'allait pas à moi elle n'irait personne. Même si c'est peut-être faux, même si elle a du le dire pour vendre, c'est quelque chose qui fait sourire et motive dans l'achat. Parce que face à quelqu'un qui quitte à peine les yeux de son téléphone quand on lui demande le prix de quelque chose, on a pas envie de lui donner de l'argent.

Par rapport à votre stand, divisez le en quelques parties. Nous ce qu'on a fait c'est un côté avec les bouquins, disques, DVDs, technologies, ensuite au milieu on a mis les babioles de décoration et matériel de maison, puis enfin les fringues -par rapport aux vêtements, il vaut mieux les pendre que les mettre par terre car les personnes ne se baissent pas pour les regarder. Si vous mettez les CDs à côté de cruches alsacienne, les clients vont très vite se perdre et ne plus savoir où regarder.

Dès que quelqu'un regarde quelque chose avec persistance, dites lui le prix. Ca le décidera à soit passer son chemin, soit à se dire que ça vaut le coup d'acheter.

Baissez le prix de tout ce que vous ne voulez vraiment plus voir. Si vous avez quelque chose que vous ne voulez pas ramener à la maison, faites le à 1 euro, 50 centimes. Si vous voyez que plusieurs personnes en vous demandant le prix le repose, rien ne sert de continuer avec ce prix là, baissez tout ! J'avais une caisse de jouets dans ma chambre que j'ai emmené là bas, j'ai marqué dessus "servez vous, je donne" et j'ai fait pleins d'enfants heureux, et un bonus d'une caisse vide.

Ne cédez pas quand une négociation semble trop incorrect. Si vous dites 10 euros et que la personne devant vous en veut 5, vous pouvez diminuer à 8 mais si il n'accepte toujours pas, n'insistez pas. Même si le client est roi, vous restez dans vos baskets, quelqu'un d'autre l’achètera au prix que vous voulez ou n'abusera pas.

En conclusion, il faut débattre des prix qu'on soit à une place ou l'autre, sans abuser. Il faut avoir le sourire et être organisé. Bien sur ce que je dis ne sont que des conseils d'une personne qui adore les bric à bracs. Un endroit où il y a de tout et n'importe quoi, où il y aura sûrement votre bonheur et qui permettra de sortir un peu de son canapé pour une petite balade. Se faire de l'argent ou en dépenser un peu, les vide greniers ça rend heureux -youhou.



lucie

que pensez vous de cet article ? vous aimez les vide greniers ?
racontez moi tout !

lundi 8 juin 2015

Avoir un manque d'inspiration.

Cela fait désormais 2 mois que je suis en vacances et je n'ai rien écrit comme article. Quelle honte pour une personne qui n'a rien à foutre de sa journée que d'écrire. Mais que voulez vous, je suis la reine des flemmardes, puis mon piètre matériel est contre moi. Eh oui, quand je prend des photos pour vous faire une tenue, mes photos ressortent floues -voir ci dessous.


J'ai deux articles commencés dans mes brouillons, mais que je n'arrive pas à boucler. J'ai souvent la main qui part de mon clavier pour chopper une manette et jouer à Zelda ou Scooby Doo sur game cube. Alors je me dis "mais vas y, écris sur les jeux vidéos, tu connais que ça !" mais j'abandonne, parce que arrivée devant mon ordinateur, je doute et laisse tomber.

Et puis, quand on a pas de matériel pour faire de belles photos, c'est compliqué de trouver son blog beau. Alors j'essaye d'investir dans du matos mais j'ai pas d'argent, et étant en pleine recherche d'appartement et passant le permis, les sous partent beaucoup plus vite que je l'avais pensé.

Alors, comment combattre le manque d'inspiration quand on n'est pas une bloggeuse connue, qu'on reste en pyjama toute la journée parce qu'on est en vacances et qu'on a rien pour prendre de belles photos, sans parler du manque d'argent ? Aujourd'hui, je vous fait un mini guide.

Tout d'abord, trouver un sujet. Faites un petit plan, sur un bout de papier, pour vous auto motiver parce que c'est dur. Il faut que ce soit quelque chose à votre hauteur, par exemple, toi qui est dans l'ombre, n'essaye pas de faire un article sur ton meet up à Paris, car tu seras seule. Personne ne te connait, et les seuls qui ont déjà vu ton blog font partis de ta famille. Ni de swapp -pour ceux qui ne connaissent pas, c'est envoyer un colis plein de cadeaux à quelqu'un et réciproquement puis l'ouvrir en direct- car tu n'as pas l'argent pour faire des cadeaux à n'importe qui.

Ensuite, lorsque vous avez votre sujet, blablatez, racontez votre vie. Tu écris des gros pavés sans trop te soucier de ce que tu fais, en organisant un minimum, tu verras bien ce que ça donne. Et si rien ne vient, revois ton petit papier, fais au moins le plan sur ta page blanche. Si vraiment rien ne vient, va prendre quelques photos en rapport, puis reviens, ça te donnera envie de continuer sachant que tu auras déjà les photos. Si tu prends des photos avec ton téléphone comme je le fais, fait attention à ce qu'on ne voit pas la qualité dégueulasse en retouchant tout sur un logiciel de retouche gratuit -du genre picmonkey.

Après, tu corriges, tu te relis, tu déplaces des choses, tu organises plus méticuleusement pour que ça donne envie de lire tu vois, pas comme cet article fait à l'arrache afin que mon blog ne tombe pas dans l'oubli. 

Enfin, tu publies et tu retournes dans l'oubli.

Oui je me cherche des excuses pour mon absence injustifiée, mais sachez que je vais revenir en force dès que possible. 

Je retourne désormais à mon activité préférée -manger- merci de ne pas m'avoir oublié et a tchao bonsoir.





lucie



qu'avez vous pensez de cet article ? vous aussi vous puez la merde comme
moi ? dites moi tout !

lundi 27 avril 2015

L'histoire de mes cheveux. (ou comment raconter sa vie)

Mes cheveux ont souffert. J'avais juste envie de retracer avec vous leur histoire, afin de ne pas oublier leur souffrance. Vous voyez, c'est un peu leur mémoire.

Avec cette article, j'espère que vous n'allez pas faire les mêmes erreurs que moi, que je vais vous donner un peu d'inspiration pour vos cheveux et pourquoi pas vous donner envie de passer totalement à autre chose !

J'ai nommé chacune de mes coupes, j'espère que vous allez les aimer.


Je tiens à vous dire que vous allez croiser seulement des anciennes photos que vous allez trouver -je pense- très enfantine, mais je n'ai jamais été photographe, malheureusement. Vous n'imaginez pas le mal que j'ai eu pour retrouver -à peu près- toutes mes phases.



L'asymétrie. Voici mon point de départ. J'étais en quatrième/troisième. C'est à cette époque que j'ai eu envie d'avoir les cheveux court, mais je n'osais pas par rapport aux personnes de mon collège qui n'était pas forcément très sympa avec moi. Mais mes cheveux longs et bruns m'énervaient, comme vous pouvez le voir sur les photos, j'avais un côté qui bouclait et l'autre non. Et encore, j'avais la raie sur le côté. Il y a eu une époque où j'avais la raie au milieu, avec un côté bouclé et l'autre plat. C'était bizarre. Je les détachaient rarement, ils étaient souvent en chignon. 

Je n'ai jamais réussi à m'en occuper. Lorsque je les lissais, ça bouclait 30 secondes plus tard. Quand j'essayais de les boucler, ça ne prenait que d'un côté. Alors j'ai pensé à me couper les cheveux, mais progressivement.

Le premier pas vers le n'importe quoi.

Alors, un jour de folie, je suis allée à Paris chez le coiffeur "Bizarre bizarre" dans le 11e arrondissement, à côté de l'avenue parmentier. Je leur ai dit "rasez mes cheveux qui servent à rien" et voilà le résultat, qui m'a coûté seulement 8 euros.

C'est aussi la période où je complexée de ne pas être rousse, alors je faisait des hénés pour être le plus roukmoute possible. En plus de me faire roussir un peu, ça m'avait réparé mes petits cheveux qui sont devenus tout soyeux. Ils étaient doux, vraiment je les trouvais magnifique.

Le side cut, mon petit côté rasé, a permis de désépaissir mes cheveux, qui faisaient un peu une touffe en fait. C'était cool parce qu'il se voyait seulement lorsque j'attachais mes cheveux, ce qui était plutôt pratique. Je l'ai fait dans l'été avant la rentrée en seconde, donc quand j'avais chaud, je n'avais qu'à attacher et j'avais un joli courant d'air dans ma nuque.


L'échec. C'est en première que j'ai fait ma première teinture -totalement raté. Je voulais les cheveux roses. On a donc fait une décoloration. Le soucis est que nous avons d'abord posé la décolo sur les racines avant les pointes. Les racines prennent toujours plus vite, donc j'ai été très blonde sur le dessus, et j'ai eu un dégradé jusqu'au chatain clair -car ça avait tout de même pris un peu. Si je peux vous donner un conseil si vous faites une décolo : laissez 10 minutes sur les pointes avant de passer aux racines.

Pour ce qui est du rose pâle que je devait avoir, il est resté une soirée sur le dessus, et encore, ce n'était que des reflets. Ma première tentative fut un réel échec.


Arielle recalée au casting. J'ai tenté le rouge, avant le bac français. Bien sur, je n'ai pas refais de décolo, donc il a pris seulement sur le dessus, sinon le reste avait une couleur étrange.. Je n'ai pas du tout aimé cette période, mais la suite était plutôt sympathique. 


Roukmoute dans l'âme. Je suis devenue vraiment rousse !!!!! Avec mon rouge qui se décolorait, je suis devenue une réelle rouquine. Ce qui me plaisait c'est que tous les jours il y avait une couleur différente, j'ai été rousse, avec des reflets roses, puis un peu blonde puis re-rousse. J'étais vraiment contente parce que je redécouvrait mes cheveux tout les jours.



Retour aux sources. J'en ai eu marre de toutes ces couleurs, je suis retournée au brun. J'ai fait une couleur plus foncée sur le roux qui commençait à partir, j'ai donc eu un brun très foncé. De plus avec mes racines brunes qui réapparaissaient, j'étais un peu dans un bicolore dégueu. Avec le lavage, mes pointes tournées au roux/blond -à cause des teintures qu'il y avait en dessous-, mais ça faisait un peu comme un tie and dye naturel

Ensuite, j'ai fait que mon side cut monte jusque dessus mes oreilles. C'est encore chez les bizarre bizarre que je suis allée, et j'étais plutôt contente de cet effet comme une vague. J'avais vraiment envie d'avoir les cheveux très court, mais mes parents ne voulaient pas tellement, alors pour m'avancer un peu, j'ai fait ça dans leur dos. Ca ne se voyait pas beaucoup plus, mais je sentais bien qu'une masse avait disparue.




Le soulagement. C'est en mars 2014, durant mon année de terminale, que j'ai tout coupé ! Le salon "Le Capillarium" à Tours, qui est un salon que j'adore, a superbement bien réussi ce que j'avais demandé -et puis l'avantage c'est que je n'allais pas me plaindre si c'était trop court. En fait j'en avais réellement marre de mes cheveux longs sans savoir quoi en faire. Je pensais depuis ma quatrième à tout couper, donc 4 ans et demi après j'ai sauté le pas. Mais la coupe courte est la meilleure coupe pour moi et mon visage. Ca a dégagé mon visage, montré mes oreilles et je n'avais plus une touffe qui m'embêtait chaque matin -depuis, j'ai gagné dix minutes de dodo en plus le matin. 

-Les deux dernières photos ont étés prises par la talentueuse Emma Allaire p., je vous invite à découvrir son travail !-


Punk en toque. J'ai ensuite fait une couleur rouge qui a tenu seulement sur quelques mèches blondes qui ressortaient. C'était l'été et j'avais envie d'un peu de folie. A vrai dire, les teintures me manquaient. Il ne faut pas oublier que mes cheveux étaient détruits, et les détruire encore plus ne me dérangeait pas.

J'ai aussi rasé mes cheveux à blanc, pour essayer de voir l'effet que ça donnerait. Mais j'ai trouvé que ça faisait peut être un peu trop. J'aimais bien passer mes mains dans mes cheveux parce que c'était tout doux, néanmoins.


Pouffiasse blondasse. Je suis repassée à la décoloration au début de l'année scolaire, mais cette fois ci j'ai réussi à devenir une vraie blonde. J'avais blondis partout, et je trouvais ça plutôt joli. 

De plus, j'avais rajouté une plume rose et jaune dans mes cheveux. C'était dans un marché de nuit, dans un petit stand. C'est une plume que tu attaches à une mèche et que tu gardes autant de temps que tu veux. Moi je l'ai gardé 5 mois environ, jusqu'à que la mèche qui la tenait forme un début de dread. C'était une petite touche qui me plaisait vraiment, et si je retrouve un stand de ce genre j'en reprendrais une d'une autre couleur !


Flash Gordon. J'ai ensuite voulu faire un rouge pétant. J'ai redécoloré mes cheveux et j'ai acheté le produit "fire" de chez crazy color. Mes cheveux sont devenus fuchsia la première fois, puis j'ai retenté sur le fuchsia et ça a donné un joli rouge clair ! Ma couleur préféré sur mes cheveux c'est réellement le rouge, si je pouvais trouver une technique pour que mon rouge parte seulement quand j'ai envie et pas avant, je le ferais.



Le tricolore bizarre. Enfin, mes cheveux actuels. Le rouge à tourné au rose, et j'ai rajouté une peu de violet de la teinture de ma petite soeur qui ne l'utilisait pas. Juste pour une petite touche en plus, parce que mes cheveux est mon terrain d'expérimentation.

En conclusion, mes cheveux c'est un peu un arc-en-ciel qui se casse la gueule. Je fais moi même mes teintures, ce qui explique tout. Mais je m'en fiche un peu, moi ce que je veux c'est faire tout ce que je peux avec mes cheveux avant de rentrer dans la vie active et devoir me teindre en brune et être réellement présentable. Vous savez, j'aime délirer capilairement parlant. Le plus beau compliment qu'on m'a fait c'est une fille qui touchait mes cheveux après avoir fait rouge avec ma coupe courte. Elle m'a dit : "Tu sais, tes cheveux me mettent de bonne humeur quand je les vois." J'amène de la couleur et j'adore ça

PS : Je ferais prochainement un article sur les produits que j'utilise pour les teintures et pour entretenir mes cheveux, promis !
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